Le cancer le plus frequent chez l homme
Le cancer de la prostate

Le cancer de la prostate

Le cancer le plus fréquent chez l’homme

Le cancer de la prostate est loin d’être anodin, avec plus de 100 000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année en France. Souvent asymptomatiques dans les premiers stades, sa détection et sa prise en charge risquent d’être plus tardives sans contrôle régulier. Les métastases, qui sont des tumeurs secondaires, peuvent se développer si la pathologie n’est pas identifiée et soignée à temps. L’impact sur la vie sexuelle peut être important, avec des effets allant de la dysfonction érectile à la perte de libido. Une rééducation post-traitement peut être envisagée, avec des options s’étendant de la kinésithérapie au conseil psychologique.

Le diagnostic précoce, un choix à faire avec son médecin

Personnes à risques

Les causes du cancer de la prostate

avancee en age

L’avancée en âge

La probabilité de développer l’adénocarcinome prostatique connaît une augmentation significative après l’âge de 50 ans.

facteurs genetiques

Les facteurs génétiques

Les facteurs génétiques constituent un élément significatif pour le développement de la pathologie cancéreuse prostatique.

regime alimentaire

Le régime alimentaire

Une alimentation saine prévient les tumeurs cancéreuses. Un régime riche en graisses saturées peut en augmenter le risque.

Les antecedents familiaux

Les antécédents familiaux

Un plus grand risque se manifeste chez les hommes présentant des précédents familiaux liés au cancer de la prostate.

inflammation de la prostate

L’inflammation de la prostate

L’inflammation chronique de la prostate, également appelée prostatite, peut augmenter le risque de carcinome prostatique.

hormones masculines

Les hormones masculines

Les niveaux élevés d’hormones masculines, ou androgènes, peuvent augmenter le risque de cancer de la prostate.

Options thérapeutiques

La surveillance et les traitements

La prévention et le choix du traitement du carcinome prostatique sont une décision à caractère complexe. Elles reposent sur un certain nombre de facteurs, notamment l’étendue du cancer, l’âge du patient et les progrès réalisés en matière de compréhension de la maladie et de sa thérapie.

surveillance et les traitements

Comment l’éviter ?

Une vie saine pour réduire le risque

faire du sport

Bouger davantage, faire du sport

L’activité physique peut aider à réduire le risque de cancer de la prostate. Elle freine aussi la mortalité due à la maladie.

Mettre de la couleur dans son assiette

Mettre de la couleur dans son assiette

Une alimentation complète en fruits et légumes colorés, riches en antioxydants, peut aider à prévenir le cancer prostatique.

vie sexuelle epanouie

Avoir une vie sexuelle épanouie

Une relation sexuelle régulière contribue à la santé de la prostate, bien que des études soient en cours pour élucider ce lien.

Cancer de la prostate : le vrai du faux des idées reçues

La prostate, un organe important dans la reproduction, est susceptible de développer des troubles, tels que l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) ou le cancer. Bien que ce dernier puisse être mortel, il est souvent traitable, surtout s’il est détecté tôt. Les méthodes de soin comprennent la chirurgie, la radiothérapie et la surveillance active.

Le cancer de la prostate est le type de cancer le plus répandu chez les hommes. Malgré sa forte prévalence, certaines idées fausses persistent, influençant parfois la perception générale de la menace et des moyens de prévention. Ainsi, on pense que l’éjaculation fréquente réduit le risque de cancer de la prostate ou que l’hérédité n’a pas d’impact sur l’éventualité de développer un carcinome. En réalité, aucune étude ne confirme le premier point, et la probabilité est plus élevée chez les hommes ayant des antécédents familiaux de cette affection. Il est donc essentiel de démystifier ces idées reçues pour favoriser une meilleure prévention et sensibilisation à cette maladie.